La recherche de logement peut parfois s’avérer complexe, surtout dans les grandes villes universitaires où la demande est élevée. Les options vont de la location de studios privés aux résidences universitaires, en passant par la colocation et des formules plus originales comme le logement intergénérationnel ou la chambre chez l’habitant.

La location d’un appartement : indépendance et coût

Opter pour un appartement en location vous offre une indépendance totale et un environnement calme propice à l’étude. Cependant, cette option est souvent la plus onéreuse. Le coût varie significativement en fonction de la région, et le budget doit également englober les charges mensuelles telles que l’électricité, l’eau, internet, etc. C’est une solution idéale pour ceux qui recherchent une totale autonomie, mais elle nécessite un budget conséquent.

La colocation : économies et convivialité

La colocation est une alternative très prisée par les étudiants pour son aspect économique. Partager un logement permet de réduire significativement le coût du loyer. C’est aussi une opportunité de créer des liens sociaux et de profiter d’une ambiance plus chaleureuse et conviviale, très appréciée par les jeunes actifs et étudiants.

Logement chez l’habitant et solutions intergénérationnelles

Loger chez l’habitant, que ce soit dans une famille d’accueil ou via un arrangement intergénérationnel, présente des avantages financiers notables. Ces options sont généralement moins chères que les locations traditionnelles et parfois même gratuites. Elles permettent aussi un échange enrichissant entre générations, offrant à la fois compagnie et aide mutuelle.

Les résidences étudiantes : confort et proximité

Les résidences étudiantes privées proposent des logements meublés et équipés conçus spécialement pour les besoins des étudiants. D’après UXCO, solution de résidence étudiante, le cadre de vie y est confortable avec des services adaptés tels que des espaces de travail connectés, des cafétérias et des laveries automatiques. Situées à proximité des pôles universitaires, elles constituent une option très pratique, bien que leur coût puisse être plus élevé que d’autres possibilités.

Les résidences universitaires du CROUS

Gérées par le CROUS, ces résidences sont parmi les plus accessibles financièrement et sont très recherchées pour cette raison. Elles sont accessibles sur critères sociaux, après validation du Dossier Social Étudiant (DSE). Offrant des logements basiques, mais fonctionnels, elles représentent une solution viable pour plus de 10% des étudiants en France qui cherchent à minimiser leurs dépenses en logement.

Quelle option choisir ?

Votre choix dépendra de vos priorités personnelles : budget, besoin d’indépendance, désir de vie sociale, etc. Chaque type de logement étudiant a ses avantages et ses inconvénients. Il est important de bien peser ces éléments en fonction de vos attentes et de vos ressources financières. N’oubliez pas de commencer vos recherches bien à l’avance, surtout dans les zones à forte demande, pour vous assurer de trouver un logement qui vous convient.

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Opter pour une formation longue pour se former sur toutes les facettes du design graphique

Si vous souhaitez vous former pour devenir un professionnel du design graphique opérationnel pour le marché de l’emploi, sachez qu’il existe un grand nombre de formations sur le marché, mais toutes ne mènent pas forcément à un titre RNCP reconnu par l’État. De plus, les tarifs diffèrent fortement d’un organisme de formation à un autre. Attention donc à vérifier que le diplôme auquel vous prétendez ait une réelle valeur sur le marché du travail.

Par exemple, suivre un bachelor designer graphique permet d’obtenir un diplôme de niveau Bac +3. S’il est possible de s’inscrire en école spécialisée pour suivre une formation en présentiel, certains organismes de formation proposent des formations analogues 100 % en distanciel. Qu’il s’agisse de bachelors en un an après un Bac + 2, de mastères spécialisés en un an, ou encore de formations en 2 ou 3 ans, l’offre est vraiment foisonnante.

De plus, il est possible de suivre certaines de ces formations à votre rythme, et de valider les différents blocs de compétences au fur et à mesure de vos disponibilités et de votre temps libre, plutôt que de valider tous les blocs de compétences d’un coup, en n’y consacrant que la durée minimale de formation. Par conséquent, vous pouvez aussi exercer une activité parallèle tout en suivant une formation diplômante en design graphique.

Suivre des formations plus courtes pour s’adapter aux évolutions des métiers ou pour se spécialiser

De nombreux organismes de formation s’attellent à répondre aux besoins de formation des étudiants souhaitant se spécialiser rapidement, mais aussi de salariés en reconversion ou ayant des besoins de formation plus courts pour pouvoir s’adapter ou évoluer à leur poste. Ces formations courtes en design graphique d’une durée de 2 jours à 2 mois sont disponibles en auto-financement, mais aussi en utilisant le solde de votre compte personnel de formation (CPF).

Ne vous attendez cependant pas à être spécialiste en design graphique en suivant ces formations dont la durée est plus faible que celle de formations longues d’une durée de 1 à 5 ans. Ces formations répondent surtout à un besoin opérationnel, tel que de la méthodologie, ou bien la maîtrise de logiciels de la suite Adobe, tels que InDesign, Photoshop ou Illustrator.

Suivre un MOOC pour commencer à appréhender les métiers du design graphique

Si vous ne connaissez rien aux métiers du design graphique, mais que ce secteur d’activités est susceptible de vous intéresser, n’oubliez pas les MOOC, cours en ligne visant principalement à une première approche d’un sujet, plus ou moins spécifique. Ces certifications peuvent être gratuites ou payantes. 

Certaines d’entre elles peuvent être accessibles gratuitement mais proposent une certification payante. Il s’agit là d’une bonne façon de développer des compétences de base pour voir si persévérer dans cette voie vous intéresse.

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Les fondamentaux du métier

Le game designer est un architecte du divertissement numérique, travaillant en étroite collaboration avec une équipe multidisciplinaire pour donner vie à des jeux vidéo variés, qu’ils soient d’action, de sport, de stratégie ou d’aventure. Sa mission principale est de créer une expérience de jeu engageante, en s’assurant que les règles soient claires et que la jouabilité soit fluide et intuitive.

Les missions clés d’un game designer

Au quotidien, le game designer remplit une multitude de tâches créatives et techniques. Son parcours commence par la rédaction d’un cahier des charges, suivie par la définition des règles du jeu et la manière de jouer. Il doit ensuite tisser une histoire captivante, concevoir un environnement séduisant et réfléchir à des énigmes et défis qui testeront l’habileté des joueurs. La création de personnages, l’intégration de différents niveaux de difficulté et les phases de tests sont autant d’étapes pour affiner la jouabilité et garantir le succès du jeu.

Les qualités pour réussir

La passion pour les jeux vidéo est un prérequis indéniable pour embrasser cette carrière. Mais au-delà de la passion, un game designer doit faire preuve d’un esprit d’équipe, de rigueur, d’une solide culture générale et d’une créativité sans bornes. La maîtrise de logiciels de programmation, de modélisation et une bonne connaissance de l’anglais sont également indispensables pour s’épanouir dans ce métier à la croisée de l’art et de la technologie.

Évolution professionnelle et perspectives

Débuter en tant que game designer est souvent un parcours semé d’embûches, avec comme première étape le rôle de level designer. Avec l’expérience, des opportunités d’évolution s’ouvrent, permettant d’accéder à des postes à responsabilité.

Le secteur offre un salaire moyen de 1600€ brut par mois pour les débutants, qui peut augmenter significativement avec l’expérience et la reconnaissance.

Formations pour devenir game designer

Les chemins pour accéder à ce métier sont multiples. Après un bac scientifique ou technologique, vous pouvez vous orienter vers des BTS ou BUT centrés sur l’audiovisuel ou l’informatique. Les licences professionnelles dédiées aux jeux vidéo et les formations spécialisées dans le design proposées par des écoles privées constituent des tremplins pour pénétrer dans l’industrie.

Intégrer le secteur du jeu vidéo

Malgré un marché en pleine expansion, décrocher un poste de Game Designer reste un défi, en raison de la forte concurrence. Les premières expériences se traduisent souvent par des stages, des missions en freelance ou en intérim, généralement centrés sur la conception d’environnements de jeu. La persévérance et la capacité à démontrer son talent sont essentielles pour évoluer dans ce domaine exigeant, mais profondément gratifiant pour ceux qui y parviennent.

En somme, le métier de game designer est une passionnante aventure créative, requérant une combinaison de compétences artistiques, techniques et humaines. Si vous aspirez à contribuer à la création des jeux qui marqueront les esprits, cette voie pourrait bien être celle qui vous est destinée.

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Quand chercher un job d’été ?

Anticipation est le maître-mot. Si vous avez pour objectif de décrocher un job d’été, entamez vos recherches dès janvier ou février d’après Gestion Camping, qui propose des offres d’emploi pour saisonnier. Vous vous demandez pourquoi si tôt ? Tout simplement parce que cela vous donne une avance considérable et vous ouvre un éventail plus large de choix de métiers.

Cela dit, si vous avez manqué le coche de ces premiers mois, pas de panique ! Les mois précédant la saison estivale sont également propices à la recherche d’emploi. Plusieurs secteurs, notamment l’hôtellerie et la restauration, sont toujours à la recherche de main-d’œuvre à cause des désistements de dernière minute. Donc, gardez espoir et restez attentifs aux offres.

Dans quel secteur trouver un job d’été ?

Il existe une multitude de secteurs qui recrutent des travailleurs saisonniers. L’important est de trouver celui qui vous convient le mieux.

Le secteur agricole est en tête de liste, offrant plus de 800 000 postes saisonniers chaque année. Vous pourriez vous retrouver à cueillir des fruits, participer aux vendanges, ou même travailler à l’emballage des produits récoltés.

Le tourisme, quant à lui, englobe une variété de métiers, allant de l’accueil touristique à la gestion des campings ou à la location de véhicules. Si vous aimez interagir avec les gens, ce secteur pourrait être votre tasse de thé.

Les industries agroalimentaires ne sont pas en reste non plus. La fabrication de glaces en été ou la préparation d’autres produits alimentaires sont des opportunités d’emploi saisonnier.

Ne sous-estimez pas l’hôtellerie et la restauration. Ces secteurs, en fortes tensions, sont toujours à la recherche de personnel, que ce soit pour servir, cuisiner ou gérer les réservations.

Le secteur de l’animation culturelle et sportive peut être l’endroit idéal si vous aimez bouger et être actif. Vous pourriez travailler dans des centres de loisirs, des clubs de vacances, ou même des parcs d’attractions.

Le commerce et la vente connaissent également une forte demande pendant les périodes festives. Que vous souhaitiez travailler comme vendeur, caissier ou livreur, il y a toujours des postes à pourvoir.

N’oubliez pas non plus les services à la personne, qui offrent une panoplie d’emplois tout au long de l’année. Que vous soyez bon en jardinage ou en promenade d’animaux, il y a probablement un job pour vous.

Enfin, d’autres secteurs tels que l’événementiel (hôtes…), le télémarketing (conseillers…), les transports (receveurs de péage…) offrent aussi des emplois saisonniers.

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Eh oui… Ce n’est pas dans un studio de 14 m² que vous bénéficierez d’une belle salle à manger exposée plein sud. Forcément, quand vient le moment choisir votre table, des questions se posent.

Quelles dimensions privilégier ? Quelle forme faut-il adopter ? Autant d’interrogations auxquelles il faut répondre.

Quelle est la taille idéale d’une petite table ?

En vous baladant dans les halles des magasins, vous trouverez, en grande majorité, des tables aux dimensions standardisées. Sinon, il faut faire appel à un artisan pour une table sur-mesure. Afin de convenir au plus grand nombre, les industriels ont fait le choix d’adopter les tailles suivantes :

• Table ronde 2 personnes = 60 cm de diamètre ;
• Table ronde 3 personnes = 80 cm de diamètre ;
• Table ronde 4 personnes = 90 cm de diamètre ;
• Table ronde 6 personnes = 125 cm de diamètre ;
• Table carrée 4 personnes = 90 x 90 cm ;
• Table rectangulaire 6-8 personnes = 145/180 x 80/90 cm.

En plus de la taille de la table, il faut aussi tenir compte de l’espace nécessaire aux chaises, et pour circuler autour. Pour cela comptez au total 60 cm supplémentaire tout autour de la table.

Quelle forme choisir pour une petite table à manger ?

La forme de la table a aussi une incidence sur l’espace qu’elle occupera. On distingue généralement 4 formes de tables. En plus de l’aspect pratique, il faut aussi que la forme de la table à manger soit cohérente avec le style de votre intérieur.

La table ronde

Très design, la table ronde est idéale si les repas sont pris à 2 ou à 4. Elle est chaleureuse car les convives sont proches les uns les autres, il est possible de rajouter des banquettes. Son inconvénient est qu’elle ne peut pas être collée dans un angle de la pièce.

La table rectangulaire

Intemporelle, la table rectangulaire est un autre chouchou des designers d’intérieur avec une large offre de petits prix à plusieurs milliers d’euros. Pourquoi ? Parce qu’elle est confortable et évite de perdre de la place, on peut la mettre dans un angle ou sur un côté. Avec une table rectangulaire mesurant 60 x 70 cm, vous pouvez manger à 2 et même poser un grand plat au centre.

La table carrée

Fonctionnelle, la table carrée est idéale pour 3 ou 4 personnes. Elle peut aussi se mettre dans un coin de la pièce, mais elle est plus encombrante qu’un modèle rectangulaire.

La table ovale

Autre tendance : les tables ovales. Impressionnantes et esthétiques visuellement, elles sont en général grandes et se présentent comme un mélange de la table ronde et de la rectangulaire. Par contre, il n’est pas possible de la mettre sur un côté, ou dans un coin elle prend de la place.

Optimiser l’espace

Pour aménager un petit espace, le but est de perdre le moins de place possible. Pour cela l’emplacement de la table dépend de sa forme, mais aussi de votre intérieur. De plus, il y a quelques astuces à connaître :

• Optez pour un piétement central, il vous permettra de placer vos chaises comme vous le désirez, et économiserez de l’espace.
• Privilégiez les tables à rallonge si vous aimez cuisiner pour vos amis de temps en temps. La rallonge pouvant être mise ou retirée, vous ne perdrez pas d’espace.
• Pensez aux bancs qui se glissent sous la table quand ils ne sont pas utilisés et aux banquettes qui éliminent les pertes de place liées au recul.

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Pourquoi choisir un Mastère en Management et Développement Durable ?

Au fur et à mesure que le temps avance, entrepreneuriat et aspect environnemental ne peuvent plus être dissociés. Le Mastère en Management et Développement Durable s’adresse à tous ceux qui cherchent à unir métier, avec environnement et société.

Durant ces 2 années, tous les aspects de responsabilité sociétale et environnementale seront abordés. Voic quelques-unes des thématiques qui seront abordées durant ce cursus universitaire :

• L’écologie ;
• Le développement durable ;
• La Responsabilité sociétale et environnementale (RSE) ;
• La Qualité hygiène sécurité et environnement (QHSE) ;
• L’économie sociale et solidaire ;
• Les énergies renouvelables ;
• etc…

En plus de couvrir tous ces aspects, le Mastère en Management et Développement durable porte une attention particulière au secteur de la transition écologique.

L’objectif de l’ESI Business School est de former des professionnels ayant une double compétence, en Management de la RSE et en Développement Durable pour une forte employabilité. Et à la lecture des chiffres de l’année 2021-2022, ces derniers sont ravis par le curriculum qui leur est proposé, et affiche un taux de réussite de 77 %.

Quelles sont les conditions pour être admis au Mastère en Management et Développement Durable ?

Pour rejoindre le Mastère Management et Développement Durable en 1^ère ou 2^ème année, il est nécessaire d’avoir au minimum un BAC+3 ou un BAC+4, en Licence, école de commerce, etc… Il doit s’agir d’une certification de niveau 6.

Quels sont les enseignements délivrés dans le Mastère en Management et Développement durable ?

Durant la 1^ère année, les étudiants du Mastère sont amenés à se familiariser avec les fondamentaux de gestion pour les entreprises responsables. En parallèle, ils doivent suivre des cours spécialités sur les entreprises, la RSE et le développement durable. Et afin d’être à la pointe de la technologie, ils apprennent les différents outils nécessaires pour innover.

Au cours de la 2^nd année, les étudiants affinent leur savoir et prennent en mains les outils pour entreprendre.

À noter qu’il est possible de choisir entre 4 spécialisations :

• Mastère Entrepreneuriat Social ;
• Mastère Management RSE et Gestion durable ;
• Mastère QHSE et énergies renouvelables ;
• Mastère GreenTech.

Les parcours du Mastère en Management et Développement durable

Pour le choix du parcours, ce master dédié à l’environnement est possible en alternance ou initiale ce master dédié à l’environnement est possible en alternance ou initital, ainsi :

1. En alternance : l’étudiant passe 3 jours en entreprise et 2 en formation. Il peut s’agir d’un contrat d’apprentissage, de professionnalisation, ou d’un stage alterné. L’entreprise prend en charge les frais de scolarité et rémunère l’étudiant.
2. En formation initiale, dans ce cas l’étudiant est présent à l’école toute la semaine. Il suivra des cours et préparera des projets. De plus, un stage obligatoire est à faire chaque année.

Par ailleurs, les cours peuvent être suivis en ligne ou en présentiel.

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1. Vétérinaire

Dans les métiers du soins et de la protection parmi les différentes catégories de métiers pour travailler avec les animaux, on retrouve en bonne position le vétérinaire, C’est le docteur des animaux.

Spécialiste de la santé animale, le vétérinaire consulte, vaccine, opère et suis des animaux. Il peut être spécialiste d’espèces et traite aussi bien les Nouveaux animaux de compagnie (NAC) que les chiens, les chats, les chevaux, les vaches, etc. Apprêtez-vous à voir passer tout type d’animaux.

Pour devenir vétérinaire, il faut faire une école vétérinaire après une classe préparatoire suivi de concours. Le cursus dure 5 années et inclus des stages pratiques.

2. Auxiliaire vétérinaire qualifié

Dans un cabinet vétérinaire, l’auxiliaire vétérinaire qualifié est à la fois la secrétaire et l’assistant du vétérinaire. Ainsi, c’est lui qui prend en charge les animaux, gère les stocks et désinfecte le matériel et les espaces techniques.

Pour devenir auxiliaire vétérinaire qualifié, il faut obtenir un certificat de qualification professionnelle (CQP). C’est un diplôme de niveau 3 au même titre que le CAP et le BEP. Le cursus est plus court et plus facile que celui de vétérinaire.

3. Éducateur canin

C’est la personne en charge du dressage des chiens. Pour exercer ce métier, il faut comprendre les comportements des chiens, leurs réactions, les spécificités liées à leurs races, et tenir compte de l’environnement. L’éducateur canin intervient pour aider les propriétaires de chiens à dresser et éduquer leurs animaux, il peut également être sollicité dans des situations extrêmes de troubles du comportement.

4. Éleveur canin ou félin

Un éleveur canin ou félin prépare les animaux pour ses futures propriétaires. Il sélectionne les plus beaux chiens/chats en les suivant de la naissance à la vente. Très souvent spécialisé dans une race, il s’assure que l’animal respectent les exigences des standards comme le Livre des origines françaises (LOF) ou le Livre officiel des origines félines (LOOF).

5. Ethologue

L’ethnologue est un chercheur de haut-vol qui observe les animaux pour en étudier le comportement. Il dispose de connaissances dans des domaines aussi variés que la psychologie animale, la biologie, etc.

6. Vendeur en animalerie

Outre sa casquette de commercial, le vendeur en animalerie doit veiller au bien-être des animaux. C’est ainsi qu’il devra nettoyer leurs cages ou aquariums, les nourrir les et s’assurer qu’ils soient en bonne santé. Il doit avoir une connaissance des animaux pour conseiller la clientèle et veiller à la logistique du magasin.

7. Toiletteur

Oubliez le cliché du toiletteur qui ne bichonne que les caniches. Cet expert du bien-être animal prend soin de toutes sortes d’espèces et de races. Il réalise des opérations telles que le shampoing, la tonte, etc. En plus d’une affinité avec les animaux, ce métier demande patience et rigueur.

8. Soigneur animalier

Travaillant dans les zoos, les parcs, refuge…, le soigneur animalier procure les soins et s’assure de la sécurité des animaux. C’est lui qui se charge de panser ses blessures et de le remettre sur pied. Il agit aussi à titre préventif, notamment en rappelant les vaccins et via la supplémentation. Il peut aussi intervenir lors d’autres tâches comme les entraînements ou le transport.

9. Moniteur d’équitation

Apprenez à un public varié à monter à cheval. Aussi à l’aise face à un public qu’en présence de chevaux, le moniteur d’équitation a plus d’une corde à son arc.

10. Maître-chien

Ici, l’homme et le chien travaillent en tandem. Un maître-chien est un agent qui fait assure la sécurité en s’appuyant sur les capacités de son fidèle compagnon. Surveillance des lieux, secours aux personnes, détection de bombes, recherches de personnes disparues, … Ses missions sont nombreuses et variées. Le maître-chien doit savoir faire preuve de sang-froid et patience lors des situations à risque, de plus il doit avoir une bonne condition physique.

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Alors que le monde devient un village planétaire, voir au-delà des frontières est une nécessité. Pendant deux ans, tout est mis en œuvre pour que les étudiants acquièrent de réelles compétences professionnelles.

Un Master qui met l’accent sur la pratique

À l’Université de Lille, hors de question que les étudiants passent tout leur temps avec le nez dans les livres. Pour ce Master en Affaires Internationales, le curriculum comprend de nombreuses activités pratiques. Mises en situation, projets d’entreprise, … Les étudiants sont constamment poussés hors de leur zone de confort. C’est pourquoi le cursus inclut deux semestres de stage en France ou à l’étranger.

Et ça ne s’arrête pas là…

En plus de l’anglais et du français, les étudiants de Master 1 ont l’opportunité d’apprendre une langue rare. Actuellement, il est possible de choisir entre l’arabe, le russe et le chinois. En tant que polyglotte trilingue, vous démultiplierez vos chances d’exercer dans un marché émergent.

Peut-être que ce Master en Affaires Internationales Trilingue est le premier pas vers un poste en Égypte ou à la bourse de Shanghai…

Un Master doté de cinq spécialisations professionnelles

Tourné à l’international, le Master Affaires Internationales est disponible en 5 parcours :

• le tourisme d’affaires de luxe ;
• le marketing, communication et négociation internationale ;
• le marketing, management de la mode et du textile (en alternance) ;
• le marketing international et négociation ;
• le marketing international et négociation (double diplôme obtenu avec l’université Hope de Liverpool).

Des partenaires de qualité

Pour que les étudiants s’intègrent rapidement dans le monde professionnel, l’université de Lille choisit méticuleusement ses partenaires. C’est pourquoi le Master en Affaires Internationales Trilingue peut compter sur le soutien de l’université Hope de Liverpool et du Conseil du Commerce Extérieur de France.

L’université Hope de Liverpool

Depuis 175 ans, l’université Hope de Liverpool promeut l’excellence au sein de la jeunesse estudiantine. Fidèle à son slogan « éduquer dans l’esprit, le corps et l’âme en quête de la vérité, de la beauté et du bien », l’institution a fièrement accepté de collaborer avec l’Université de Lille.

Le Conseil du Commerce Extérieur de France

À intervalles réguliers, des conseillers du CCEF viennent partager leurs expériences de vie à l’international. Pour que les séances soient enrichissantes, seuls des points précis sont abordés :

• la planification et l’exécution de la stratégie export ;
• l’installation d’une unité industrielle à l’étranger ;
• etc

Après un processus d’évaluation, les étudiants reçoivent un certificat signé du CCEF. Grâce à ce dernier, les étudiants auront plus de chances de trouver un emploi à l’international ou une place de volontaire international.

Admission

Pour être admis au Master en Affaires Internationales Trilingue, il est nécessaire d’avoir une licence délivrée. L’admission des étudiants se fait sur étude de dossier. Dans certaines circonstances, un entretien peut avoir lieu.

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La résidence étudiante

Une résidence étudiante est un logement privé mis à disposition par des propriétaires et stratégiquement situé à proximité des universités. Ces logements sont généralement meublés et disposent d’un accès privatif à toutes les commodités nécessaires à la vie d’un étudiant (kitchenette, literie, salle d’eau, WC, etc.). Ces logements offrent une autonomie plus grande car ils disposent souvent de services tels qu’une laverie privée, une salle de vie commune, un intendant attitré ou même encore une salle de sport intégrée. Ce type de résidence offre un confort général plus grand qu’une résidence universitaire.

La résidence universitaire

Une résidence universitaire s’adresse aux étudiants boursiers. Elle est dirigée par le Crous qui est un centre régional public géré lui-même par le ministère de l’enseignement. Ce programme aide les personnes ayant peu de moyens financiers à se loger pour mener à bien leurs études. Les différents centres proposent des chambres de minimum 9 m2 à proximité des grandes universités. Les sanitaires ainsi que l’espace de vie sont communs à tous les résidents. Ce genre d’établissement favorise la cohésion entre étudiants et est une solution économique pour se loger. Le nombre de logements reste faible, il est donc important de constituer son dossier rapidement et de faire une simulation d’éligibilité pour pouvoir accéder à ce dispositif.

Le budget à prévoir

Le budget reste la différence la plus importante entre une résidence universitaire et une résidence étudiante. Personne n’a les mêmes besoins ni les mêmes finances. Votre budget mensuel va déterminer les besoins que vous allez pouvoir compléter. La résidence universitaire est réservée aux personnes ayant effectué une demande de bourse. Celle-ci est calculée selon le quotient familial de chaque personne et varie en fonction des familles. En termes de coût, comptez environ 150 à 250 €/mois en fonction du volume du logement. La résidence étudiante est proposée pour des budgets plus aisés ou pour les personnes ne disposant pas d’une bourse. Le coût est d’environ 500 €/mois pour un studio en résidence étudiante. Des APL (Aide Personnalisée au Logement) sont possibles dans les deux cas.

Ce qu’il faut retenir

Chaque résidence offre des avantages différents. Il est important de déterminer quels critères sont les plus importants pour vivre dans un de ces logements. Par exemple, il peut s’agir là d’une limite de budget à ne pas dépasser, d’une préférence pour un confort plus grand ou d’un désir de vie collective entre résidents. Ce choix va déterminer quelle résidence est la plus à même de répondre aux attentes de chacun. Découvre le dossier complet de Campus France.

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Une langue amusante à apprendre et bien que certains trouvent son apprentissage facile, avec ses 750 000 mots, les règles de grammaire ou de conjugaison ne sont pas les mêmes qu’en français, le vocabulaire n’a pas les mêmes racines, etc.

Selon votre âge ou votre niveau, vos attentes ne seront pas les mêmes, mais la stratégie proposée peut s’adapter selon le support ou le sujet, choisissez ce qui vous convient.
Vous souhaitez apprendre et maîtriser l’anglais rapidement ? Voici 5 conseils efficaces à suivre.

1) La lecture

Toute lecture sera bénéfique, le titre du dernier film que vous avez vu au cinéma, le dernier post de votre artiste préféré sur Instagram, une notice, un mail, un livre. Tout est bon à prendre !

Tous ces contenus débordent de nouveaux mots de vocabulaire inconnu qui viennent s’ajouter à ceux que vous connaissez déjà, ils arrivent dans un nouveau contexte et vous aident à améliorer vos connaissances.

Avec tous les mots que possède la langue anglaise, il est essentiel d’apprendre de nouveaux mots ou nouvelles expressions qui viendront enrichir la construction de vos phrases et terminologies. Essayez de remettre ces mots dans de nouveaux contextes, en effet, une exposition répétée à ceux-ci vous offrira d’autres exemples pour de nouvelles situations.

2) Prendre note des nouveaux mots

Evidemment, nous ne pouvons pas retenir tous les mots et expressions nouvelles du premier coup, cela serait bien trop facile.
Un de nos supers conseils est d’en prendre note !
Mais pas de n’importe quelle façon : munissez-vous de votre ordinateur portable, ou d’un outil pour prendre des notes.

De cette façon, à chaque fois qu’une nouvelle expression ou nouveau mot arrive à vos oreilles, prenez en note en les remettant dans le contexte et en précisant son sens sans avoir à tout réexaminer à chaque fois.

Revoyez de temps en temps cette liste, surtout les mots qui vous posent problème pour stimuler votre mémoire et retenir à long terme. Nous vous conseillons l’application gratuite de mémorisation Anki.

3) Echanger avec des anglophones

La communication est le « maître-mot » de votre apprentissage, à l’heure où nous communiquons énormément par message via nos réseaux sociaux, il est temps de parler !

Bien souvent, dans la plupart des cas, il est beaucoup plus facile de comprendre ou de lire l’anglais que de le parler. Pour remédier au problème rien de mieux que de communiquer directement avec un natif anglophone.
Parler la langue dans sa vie au quotidien permet de progresser considérablement. Que ce soit dans le vocabulaire, mais aussi dans la prononciation des mots qui peut être corrigée directement par votre interlocuteur.

Vous n’avez personne autour de vous à qui parler en anglais ? Pas de panique, vous pouvez également utiliser des applications qui vous feront travailler votre élocution dans la langue. Ou encore sur des sites, ce n’est pas les ressources en ligne qui manquent, on peut par exemple citer ISpeakSpokeSpoken.com pour apprendre l’anglais qui dispose d’ailleurs d’un des meilleurs guides de prononciation du web.

4) Utiliser les vidéos YouTube ou podcasts

De nombreuses chaînes sur YouTube vous proposent des cours en matière de grammaire, phonétique et de vocabulaire. Vous avez 5 à 10 minutes devant vous, alors regardez une de ces vidéos, choisissez le thème qui vous correspond.

Vous avez des passions telles que la cuisine, le sport, la politique, vous vous intéressez à certains thèmes ? Il y a forcément des podcasts faits pour vous. Quand vous faites une activité telle que le ménage, jogging, etc. Branchez vos écouteurs et mettez un podcast.

Vous êtes fans de films ou séries sur Netflix, choisissez de les regarder en V.O. Vous verrez que petit à petit, vous comprendrez de mieux en mieux ce que vous entendez.

5) L’immersion totale dans un pays anglophone

Si votre but est des progresser rapidement et efficacement alors l’immersion totale dans un pays anglophone est la solution.

L’anglais est une des langues les plus parlées au monde, vous n’aurez donc que le choix du pays selon vos attentes et budget. Partez à la découverte du Canada, des Etats-Unis, du Royaume-Uni, Afrique du Sud, Australie, la liste est longue.

Vous l’aurez compris la manière la plus productive d’apprendre l’anglais reste le voyage linguistique à l’étranger. Prendre des cours avec d’autres étudiants venant des 4 coins du monde, être immergé avec la langue parlée au quotidien et une nouvelle culture.

Après avoir lu tous ces précieux conseils pour apprendre la langue de Shakespeare, vous n’avez plus d’excuses pour devenir le/la meilleur en anglais. Let’s go !

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